L’histoire de ce livre
Suite à une grande demande nous avons imprimé un numéro de la Bonne Nouvelle sur la mort.
Nous avons vu beaucoup de fruits :
Espérances, joies, conversions, lumières, consolations et guérisons…
Les gens nous ont demandé des numéros supplémentaires et quelques jours après nous n’avions plus rien de nos 7000 exemplaires !
Entre temps nous avons aussi reçu de multiples témoignages sur ce thème tous plus beaux les uns que les autres…
C’est pour cela que nous avons décidé de rassembler tous ces récits dans un nouveau livre (ci-dessus).
* Une bombe d’espérance !
Des témoignages avant, pendant et après la mort.
Un approfondissement sur les NDE, le deuil, la prière et la puissance de la messe.
Un message simple et fort pour tous !
Diffusons largement ce livre !
Que Dieu vous bénisse !
Thierry Fourchaud
* Livre 160 pages – 10€ l’unité – Merci d’ajouter 2euros de frais de port.
Vous pouvez renvoyer votre commande à l’adresse-dessous.
La Bonne Nouvelle – 66 rue de la République
47200 Marmande (France)
Commande par téléphone au 05.53.20.99.86
Voici ci-dessous différents témoignages extraits de ce livre..
* Témoignages de Mirella Pizzioli
Mirella, comme Maria Simma, a reçu ce don de Dieu d’avoir une proximité étonnante avec le Ciel. Voici quelques extraits de son livre « Porte ouverte sur l’au-delà »
Je suis heureuse et infiniment reconnaissante à Dieu pour tout ce qu’il m’a donné. Des dons extraordinaires.
Le Ciel est ouvert au-dessus de moi. La mort n’existe pas : je les vois, ils sont vivants, ils marchent, nous tendent les bras, nous sourient.
Je vois les enfants qui jouent. De longues files de jeunes entourés de lumière, qui viennent à notre aide avec les anges. J’entends leurs voix, leurs chuchotements, leurs soupirs.
Les personnes que nous avons aimées ne sont pas mortes et leur esprit nous protège. Elles me parlent, me transmettent leurs pensées, leurs émotions, et mon c¦ur comprend et saisit.
La mort n’existe pas.
Dieu parle. La Vierge parle. Nos chers parents parlent.
Les anges existent. Nous sommes entourés d’un monde fascinant de lumières, de couleurs, de parfums intenses et délicats, de très douces mélodies qui nous émeuvent.
Mais ce que j’ai le mieux compris, c’est l’amour.
L’amour suprême, total, parce que Dieu est amour et , si nous voulons faire partie de ce monde extraordinaire, nous devons aimer, aimer comme Dieu nous aime.
Extrait du livre “La Mort, témoignage de vie !”
* Témoignage du Dr Raymond Moody concernant le suicide
J’accorde une importance toute particulière à des phénomènes d’approche de la mort consécutifs à des tentatives de suicide.
Ces expériences comportaient un caractère commun, celui d’être désagréables.
Comme me l’a dit une femme : Si vous quittez ce monde avec une âme tourmentée, vous serez une âme tourmentée dans l’autre monde.
En résumé, les témoins rapportent que les situations conflictuelles auxquelles ils avaient tenté d’échapper par le suicide trouvaient un prolongement après la mort, mais avec des complications en plus. Dans leur état de décorporés, ils se voyaient incapables de résoudre leurs problèmes et prenaient également conscience des conséquences funestes engendrées par leur acte.
Un homme, que le décès de son épouse avait réduit au désespoir, s’était suicidé d’une balle de revolver. Il était “mort” des suites de sa blessure, et avait finalement pu être ramené à la vie.
Il déclare :
– Je n’ai pas pu rejoindre ma femme. Je suis allé dans un endroit affreux. J’ai immédiatement mesuré l’erreur que j’avais commise. J’ai pensé : combien je regrette d’avoir fait cela !
Autre témoignage : Un homme qui était “mort” à la suite d’un accident disait :
– Pendant que je me trouvais de l’autre côté, j’eus le sentiment que deux choses me seraient totalement interdites : me tuer, ou tuer quelqu’un.
Si j’en venais à me suicider, ce serait comme si je refusais le don de Dieu en Lui jetant à la face.
Tuer quelqu’un d’autre (crime, avortement, euthanasie), c’est se mettre en travers du plan que Dieu a conçu pour chaque homme.
Extrait du livre “La Mort, témoignage de vie !”
* Témoignage de Steve Van Deventer (Pays-Bas)
Retour à la vie ! ! !
Heinrich portait toujours son propre certificat de décès dans sa valise. C’était un document officiel de l’hôpital signé par son médecin. Je rencontrai Heinrich lors de mon retour en Afrique du Sud afin qu’il me raconte cette histoire incroyable.
Alors qu’il se rendait à une réunion des Hommes d’affaires du Plein Evangile dans le Nord-Transvaal, il fut terrassé par une crise cardiaque. Un ami le transporta immédiatement à l’hôpital où il fut déclaré mort.
Cet ami prévint le groupe et raconta ce qui s’était passé. Peu après, quelques-uns des hommes d’affaires arrivèrent à l’hôpital et commencèrent à prier.
Soudain, une infirmière poussa un hurlement. Le drap qui recouvrait le mort avait bougé et le “mort” s’était assis !
Les médecins le gardèrent un jour à l’hôpital en observation mais durent se rendre à l’évidence : le c¦ur d’Heinrich était en parfait état !
Extrait du livre “La Mort, témoignage de vie !”
* On se retrouvera !
Témoignage de Thierry Fourchaud
* 26 février 1992.
Myriam mon épouse est hospitalisée d’urgence à la clinique de Saint Georges de Didonne. Enceinte et à presque six mois de grossesse, les résultats des analyses sont catastrophiques : infections urinaire très avancée… Arrivée à la maternité, le docteur l’examine. Il passe aussitôt au tutoiement :
– C’est trop tard, le col est très dilaté, tu vas accoucher. Nous allons préparer la salle d’accouchement, il naîtra dans la nuit… mais il ne vivra pas.
Nous sommes atterrés.
Notre petit Simon, notre premier enfant, notre petit garçon, nous avions formé tellement de projets pour toi, pour nous…
Le médecin propose d’endormir mon épouse. Celle-ci refuse tout net. Myriam veut voir son fils pour ne pas fantasmer après.
Il nous reste quelques minutes avant l’accouchement. Nous allons téléphoner à nos parents afin de les prévenir. Mes parents sont en pleurs au bout du fil. Myriam appelle aussi ses parents qui réagissent de la même façon. Par “hasard”, son frère, Pierre, qui est prêtre, est là.
Il prend le téléphone et me dit :
– Tu dois baptiser cet enfant. En cas d’urgence tu peux le baptiser.
– Je rouspète un peu car, à cet époque, je ne suis pas croyant : à quoi ça sert, de toute façon il va mourir !
– Thierry, fais-le. Fais-le pour lui, fais-le pour toute notre famille. La mort n’est qu’un passage, il va continuer à vivre !
– Là, je suis ébranlé en moi-même, c’est comme une porte qui commence à s’ouvrir dans mon c¦ur, je répond : OK, je vais le faire pour te faire plaisir et pour Simon au cas où ? De toute façon, ça ne coûte rien.
Nous prévenons le médecin (un homme très profond) qui accepte la démarche.
Myriam accouche dans une ambiance surréaliste, poussant pour donner la vie, tout en sachant que cette vie ne durera que le temps d’un souffle.
Elle est d’un courage extraordinaire.
Voilà enfin Simon, notre fils ! Un tout petit bébé entièrement formé, avec de beaux cheveux bruns. Il pousse un premier petit cri, il respire péniblement !
Myriam peut prendre son fils sur son c¦ur. Puis, vite il faut le baptiser. L’infirmière porte Simon à côté d’un lavabo dans la même pièce. Elle met de l’eau dans un flacon qu’elle me tend. Je verse l’eau sur le front de mon petit garçon en faisant une croix et je prononce les paroles rituelles :
– Je te baptise Simon. Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Amen !
Aussitôt le temps s’arrête.
Là, je vois, avec les yeux de mon c¦ur mais avec certitude, une femme au dessus de nous. Elle est dans l’air, comme posée sur un nuage, elle porte un voile sur la tête et un vêtement blanc. Mais ce qui émane avant tout de cette douce lumière, c’est un amour infini, un regard de consolation et de tendresse. Elle est là, elle nous regarde. Je suis complètement enveloppé d’une paix surnaturelle.
Simon commence à tousser, à s’étouffer… L’infirmière l’emporte car il s’éteint comme une petite flamme dans le vent. Je retourne mécaniquement vers Myriam. La présence féminine est toujours au dessus de moi.
Après différents soins, nous nous apprêtons à regagner la chambre.
Alors que les deux portes du bloc s’ouvrent automatiquement, je vois la Mère de Jésus, car j’ai compris que c’était elle, avec mon fils Simon dans ses bras !
Elle ne parle pas, mais je comprends clairement ce qu’elle écrit au fond de mon c¦ur :
– Ne t’inquiète pas, je m’occupe de ton fils. Simon est vivant, il est avec moi, il vivra pour toujours et tu le retrouveras.
Je suis bouleversé.
Arrivé à la chambre, j’essaie d’expliquer à Myriam ce qui m’arrive, car Marie est toujours là.
Chose inouïe, elle vit de son côté la même rencontre !
Incroyable cadeau du Ciel, nous sommes en train de nous convertir en même temps !
Marie reste là. Très tard et très paisiblement dans la nuit nous nous endormons.
Au matin, tous les deux, nous sommes de nouveaux chrétiens pleins de feu et de zèle. Nous avons rencontré Marie qui nous a aussitôt et irrésistiblement attirés vers son fils Jésus-Christ. Inutile pour Myriam de prendre les calmants proposés par le médecin. Un seul désir habite nos c¦urs : aller à la messe en ce mercredi des cendres. Plus qu’une seule chose compte désormais pour notre couple : – Jésus est vivant, allons proclamer la Bonne Nouvelle à toute la création !
Nous nous reposerons plus tard, au Ciel, avec Simon !
Extrait du livre “La Mort, témoignage de vie !”
* Le livre La mort, témoiganges de vies !160 pages : 5 euros l’unité.
Merci d’ajouter 2€ pour les frais de port.
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La Bonne Nouvelle- 66 rue de la République
47200 Marmande (France)
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** Portez l’espérance, faîtes connaître ce livre autour de vous !