N°23 – Mars 2003

Editorial

Merci Père pour ta Miséricorde qui nous donne aujourd’hui en ce début de carême la grâce de re…”commencer” avec Toi un chemin de conversion caché avec Saint Joseph et de pouvoir avec Marie et par Elle te renouveler notre “oui” en cette fête de l’Annonciation. Merci Marie de nous accompagner dans notre vie de foi en la “Bonne Nouvelle”, merci de nous inviter comme tu l’as vécu à incarner la Parole de Paix en nos Coeurs et dans nos vies en collaborant avec Toi dans la prière et le témoignage pour la paix.

Unis à Notre Saint Père, puissions-nous revivre la fidélité à l’Angélus.

L’ange du Seigneur fit l’annonce à Marie qu’Elle serait Mère du Sauveur…
Et elle conçut du Saint Esprit

Je vous salue Marie, pleine de grâces, le Seigneur est avec vous, vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus le fruit de vos entrailles est béni…
Sainte Marie, Mère de Dieu, prie pour nous pauvres pécheurs maintenant et à l’heure de notre mort. Amen

Voici la Servante du Seigneur…
Qu’il me soit fait selon Ta Parole

Je vous salue Marie…

Et le Verbe s’est fait chair…
Et Il a habité parmi nous

Je vous salue Marie…

Priez pour nous Sainte Mère de Dieu afin que nous soyons rendus dignes des promesses de Notre Seigneur Jésus Christ.

Daigne Seigneur répandre ta grâce en nos âmes afin qu’ayant connu par la voix de l’ange l’incarnation du Christ Ton Fils nous arrivions par sa passion et par sa Croix à la Gloire de la Résurrection. Nous te le demandons par notre Seigneur Jésus Christ.

A l’écoute de notre Mère l’Eglise

NOTRE SAINT PERE NOUS PARLE

OCTOBRE 2002-OCTOBRE 2003
ANNEE DU ROSAIRE

IL NE FAUT PAS SE RESIGNER !
LA GUERRE N’EST PAS INELUCTABLE !

“LA PAIX

Les difficultés que la perspective mondiale fait apparaître en ce début de nouveau millénaire nous conduisent à penser que seule une intervention d’en haut, capable d’orienter les coeurs de ceux qui vivent des situations conflictuelles et de ceux qui régissent le sort des Nations, peut faire espérer un avenir moins sombre.

Le Rosaire est une prière orientée par nature vers la paix, du fait même qu’elle est contemplation du Christ, Prince de la paix et “notre paix” (Ep 2, 14). Celui qui assimile le mystère du Christ -et le Rosaire vise précisément à cela- apprend le secret de la paix et en fait un projet de vie. En outre, en vertu de son caractère méditatif, dans la tranquille succession des Ave Maria, le Rosaire exerce sur celui qui prie une action pacificatrice qui le dispose à recevoir cette paix véritable, qui est un don spécial du Ressuscité (cf. Jn 14, 27; 20, 21), et à en faire l’expérience au fond de son être, en vue de la répandre autour de lui.

Le Rosaire est aussi une prière de paix en raison des fruits de Charité qu’il produit. S’il est bien récité comme une vraie prière méditative, le Rosaire, en favorisant la rencontre avec le Christ dans ses mystères, ne peut pas ne pas indiquer aussi le visage du Christ dans les frères, en particulier dans les plus souffrants. Comment pourrait-on fixer, dans les mystères joyeux, le mystère de l’Enfant né à Bethléem sans éprouver le désir d’accueillir, de défendre et de promouvoir la vie, en se chargeant de la souffrance des enfants de toutes les parties du monde ? Comment, dans les mystères lumineux, pourrait-on suivre les pas du Christ qui révèle le Père sans s’engager à témoigner de ses “béatitudes” dans la vie de chaque jour ? Et comment contempler le Christ chargé de la Croix et crucifié sans ressentir le besoin de se faire le “Cyrénéen” de tout frère brisé par la souffrance ou écrasé par le désespoir ? Enfin, comment pourrait-on fixer les yeux sur la gloire du Christ ressuscité et sur Marie couronnée Reine sans éprouver le désir de rendre ce monde plus beau, plus juste et plus proche du dessein de Dieu ?

En réalité, tandis qu’il nous conduit à fixer les yeux sur le Christ, le Rosaire nous rend aussi bâtisseurs de la paix dans le monde. Par sa caractéristique de supplication communautaire et insistante, pour répondre à l’invitation du Christ “à toujours prier sans se décourager” (Lc 18, 1), il nous permet d’espérer que même aujourd’hui, une “bataille” aussi difficile que celle de la paix pourra être gagnée. Loin d’être une fuite des problèmes du monde, le Rosaire nous pousse à les regarder avec un oeil responsable et généreux, et il nous obtient la force de les affronter avec la certitude de l’aide de Dieu et avec la ferme intention de témoigner en toutes circonstances de “l’amour, lui qui fait l’unité dans la perfection” (Col 3, 14).

[…] Je m’adresse à vous en particulier chers frères dans l’épiscopat, prêtres et diacres, et aussi à vous, agents pastoraux engagés dans divers ministères, pour que, en faisant l’expérience personnelle de la beauté du Rosaire, vous en deveniez des promoteurs actifs.
[…] Je me tourne vers vous, frères et soeurs de toute condition, vers vous, familles chrétiennes, vers vous, malades et personnes âgées, vers vous les jeunes :

Reprenez avec confiance le chapelet entre vos mains,
le redécouvrant à la lumière de l’Ecriture, en harmonie avec la liturgie,
dans le cadre de votre vie quotidienne.
Que mon appel ne reste pas lettre morte !

Extrait de la lettre apostolique “Rosarium Virginis Mariae” du 16 octobre 2002

MESSAGE DU PAPE JEAN-PAUL II POUR LE CAREME 2003

“Il y a plus de bonheur à donner qu’à recevoir”
Répondre à l’appel intérieur à se donner aux autres sans rien attendre pour soi

Chers frères et soeurs !

Cette année comme guide de réflexion pour le Carême, je voudrais proposer la phrase extraite des Actes des Apôtres : “Il y a plus de bonheur à donner qu’à recevoir” (20, 35).
Il ne s’agit pas d’un simple rappel moral, ni d’un commandement qui parvient à l’homme de l’extérieur. L’inclination au don est inscrite dans les profondeurs intimes du coeur humain : toute personne éprouve le désir d’entrer en relation avec les autres et se réalise pleinement quand elle se donne librement aux autres.
Notre époque est malheureusement influencée par une mentalité particulièrement sensible aux sollicitations de l’égoïsme, toujours prêt à se réveiller dans le coeur de l’homme. […] L’esprit du monde affaiblit la tendance intérieure au don désintéressé de soi aux autres et pousse à satisfaire ses propres intérêts particuliers. Le désir d’accumuler des biens se fait toujours plus pressant. Il est évidemment naturel et juste que chacun, grâce à ses talents personnels et à son travail, s’attache à obtenir ce dont il a besoin pour vivre, mais le désir exagéré de posséder empêche la créature humaine de s’ouvrir au Créateur et à ses semblables. Les paroles que Paul adressait à Timothée ont la même valeur pour tous les temps : “La racine de tous les maux, c’est l’amour de l’argent. Pour s’y être livrés, certains se sont égarés loin de la foi et se sont infligé à eux-mêmes des tourments sans nombre” (1 Tm 6, 10)
[…] Devant le spectacle désolant de la pauvreté persistante qui afflige une si grande part de la population mondiale, comment ne pas reconnaître que la recherche effrénée du profit et le manque d’attention […] pour le bien commun concentrent entre les mains de quelques-uns une grande part des ressources, tandis que le reste de l’humanité souffre de la misère et de l’abandon ?
[…] Il est nécessaire de rechercher non pas le bien d’un petit cercle de privilégiés, mais l’amélioration des conditions de vie de tous. C’est seulement sur ce fondement que l’on pourra édifier l’ordre international. […] “Il y a plus de bonheur à donner qu’à recevoir”. En répondant à l’appel intérieur à se donner aux autres sans rien attendre pour lui, le croyant éprouve une profonde satisfaction intérieure.
L’effort du Chrétien pour promouvoir la justice, son engagement pour la défense des plus faibles, ses initiatives humanitaires […] trouvent leur source dans cet unique et inépuisable trésor d’amour qu’est le don total de Jésus au Père. Le croyant est invité à suivre les pas du Christ, vrai Dieu et vrai homme, qui dans la parfaite adhésion à la volonté de son Père, se dépouilla et s’humilia lui-même (cf. Ph 2, 6 ss.), se donnant à nous dans un amour désintéressé et total, jusqu’à mourir sur la Croix. Du Calvaire se répand de manière éloquente le message de l’amour trinitaire pour les êtres humains de tous les temps et de tous les pays.
Saint Augustin remarquait que Dieu seul, Bien suprême, est en mesure de vaincre les misères du monde.
La miséricorde et l’amour envers le prochain doivent donc jaillir d’un rapport vivant avec Dieu, et se référer sans cesse à Lui, parce que c’est dans la proximité avec le Christ que réside notre joie.

(suite le mois prochain)

Jean-Paul II du Vatican, le 7 janvier 2003
Extrait de l’Osservatore Romano du 11 février 2003

Medjugorje, hier et aujourd’hui

HIER

Le Père Slavko nous parle de la CROIX

Ce n’est pas par hasard que la Vierge apparaît aujourd’hui aux confins de l’Orient et de l’Occident sous le titre “Reine de la Paix”. Et ce n’est pas par hasard, non plus, si Elle s’est montrée aux voyants, le troisième jour, en se tenant, en larmes, devant une croix.

Devant cette croix, Elle a prononcé ses premières paroles :

“Mir, mir, mir… (la paix, la paix, la paix). La prière et le jeûne peuvent arrêter la guerre !”

Bien que la Vierge Marie soit entrée dans la gloire et la paix éternelles, Elle nous a, encore une fois, rejoints. Il le fallait. Car, complètement “égarés et perdus”, il nous faut quelqu’un pour nous remettre sur le bon chemin. Ce chemin passe par notre “Golgotha d’Amour”. C’est à dire, par l’acceptation amoureuse de la croix de notre vie !

Tous nous avons notre croix à porter. C’est indéniable. Il ne faut donc pas rechercher la croix. Elle est bien présente dans chacune de nos vies. Devant cette croix de notre vie quelle est notre attitude ? Nous acceptons rarement notre vie et notre croix, telle qu’elle est. Parfois nous nous révoltons, nous en voulons à Dieu et au monde entier, tombons en dépression, perdons la foi…

La Vierge n’a pas “oublié” son propre chemin à l’ombre de la Croix. Elle n’a jamais eu peur, ni de la souffrance, ni de la croix, ni de la mort. Elle est notre Mère et Elle ne vient pas à nous pour nous effrayer. Elle vient pour nous rappeler le seul vrai chemin possible, à la suite de son Fils. Cet unique chemin étroit vers la Paix, ne peut se faire sans l’amour de la croix, sans accepter et porter sa propre croix avec patience et amour. Cette vérité, l’homme d’aujourd’hui l’a oubliée. Il a peur de la croix, il nie et fuit la croix. C’est pourquoi, elle n’est pas ce “fardeau léger” que devient toute croix à la suite de Jésus. La croix de l’homme d’aujourd’hui est devenue lourde à porter et il s’écroule sous son poids.

“Je suis venue pour vous apprendre la joie de la croix !” (septembre 1985)

La Vierge Marie nous rappelle que Son Fils est venu dans ce monde pour transmettre la paix divine aux hommes. A Medjugorje, la Reine de la Paix insiste sur le fait que cette paix divine naît de la croix. Sans la croix du Vendredi Saint, il n’y aurait pas eu le Dimanche de Pâques. Mais nous avons besoin d’être éduqués à l’amour de la croix. C’est pour cela que Marie, en bonne Mère, n’est pas seulement apparue avec une croix, mais Ele a commencé avec ses “chers enfants” toute une éducation concrète au mystère d’amour de la croix. Elle a donc commencé par inviter les voyants à monter sur le Krizevac. Au sommet de cette montagne, près de la grande croix, ils la rencontrent. Elle leur apprend à prier et à espérer devant la croix, à contempler et aimer le Rédempteur. Elle continue à nous appeler à venir au pied de cette grande croix que la communauté paroissiale avait dressée, jadis, en 1933.

“Priez souvent devant la croix, vous y recevrez de grandes grâces !”

Cette croix, devant laquelle tant de pèlerins prient, fut érigée pour le 1900ème anniversaire de la Rédemption. A ce moment, personne ne pouvait imaginer que ce serait un jour un lieu de pèlerinage d’une telle ampleur. C’est une invitation à rencontrer Jésus qui souffre ; Jésus qui aime et qui pardonne en souffrant et qui accomplit ainsi notre Rédemption.

La Croix : Une école d’Amour…
Méditer et faire le chemin de croix est notre école d’amour, de pardon et d’abandon à Dieu. Il n’y a pas un seul groupe de pèlerins qui n’ait prévu dans son programme un chemin de croix sur le Krizevac. Nombreux sont ceux qui en revenant du Krizevac, éprouvent le besoin de se confesser. Beaucoup y ont été libérés de la peur devant la croix, de la peur de la souffrance et de la mort, de la peur de Dieu… L’expérience confirme de plus en plus, que la plupart des pèlerins y ont reçu une vie nouvelle. Il ne pourrait pas en être autrement ! La passion du Christ, la mort du Christ nous ont obtenu la Résurrection et la Vie.

… Et une vie nouvelle.
Hélas, les chrétiens désirent de moins en moins rencontrer le Christ souffrant. Ce monde a évacué la croix. A cause de cela, on ne peut pas faire l’expérience d’une vie renouvelée, d’un amour ressuscité. Les Chrétiens d’aujourd’hui, en perdant le sens de la Croix, perdent aussi le sens du Sacrifice, le sens de l’Eucharistie, le sens de la prière (qui est proximité avec Dieu) et, également, le sens de la Résurrection et de l’amour pour la Vie. Tout cela va ensemble.

Le Croyant qui ne médite pas les mystères douloureux, risque de ne faire aucune rencontre avec l’Amour crucifié. C’est un appauvrissement spirituel et l’impossibilité de connaître l’amour. Cela signifie la perte de toutes les valeurs chrétiennes et, hélas, également la fermeture aux grâces d’En-Haut. Il n’y a pas de résurrection possible sans cet amour de la Croix.

Allocution du Père Slavko à Banneux, 11 décembre 1988

AUJOURD’HUI

Medjugorje, le 25 Février 2003

“Chers enfants, aujourd’hui encore, Je vous invite à prier et à jeûner pour la paix.
Comme Je l’ai déjà dit, Je vous le répète encore maintenant, petits enfants,
seulement par la prière et le jeûne même les guerres peuvent être arrêtées.
La paix est un précieux don de Dieu. Recherchez-la, priez et vous la recevrez.
Parlez de la paix et portez la paix dans vos cœurs.
Prenez-en soin comme d’une fleur qui a besoin d’eau, de tendresse et de lumière.
Soyez ceux qui portent la paix aux autres. Je suis avec vous et J’intercède pour vous tous.
Merci d’avoir répondu à mon appel.”

MOT D’ORDRE POUR LES MEMBRES DE LA COMMUNION MARIE REINE

Le pire n’est jamais certain ! La foi, l’espérance et l’amour barre la route à la fatalité. Les médias nous présentent la guerre comme inévitable, la détermination des grands de ce monde n’admet aucune réplique et nous nous sentons bien faibles devant l’énorme machine de guerre qui s’est mise en route. Cependant dans ce message la Vierge en nous disant ” Je vous le répète “, insiste sur notre responsabilité : le jeûne et la prière peuvent arrêter les guerres ! Elle intervient pour nous dire de ne pas baisser les bras, pour nous exhorter à reprendre courage et à espérer contre toute espérance. La guerre n’est pas une fatalité, ni la mort des innocents, ni le triomphe des puissances de l’argent et de l’arrogance. Le cœur de Marie pleure pour chacun de ses enfants qu’il soit américain, irakien ou israélien, ou palestinien, juif, musulman ou chrétien, qu’il ait raison ou tort, qu’il se sache ou non pécheur. Que la douleur de Marie nous réveille dans notre retrait apathique ou dans notre attente résignée, Elle a besoin de nos prières et de nos sacrifices pour s’opposer aux lois implacables de la destruction que nos erreurs et nos péchés ont provoqué. De plus, si le saint Père insiste avec tant de vigueur pour que nous menions ce bon combat de la Paix c’est qu’il sait qu’il est crucial pour notre monde. Frère Ephraïm

Commentaire du Père Ljubo à paraître dans le site www.medjugorje.hr

SPECIAL ADOS

FESTIVAL DES JEUNES 2002…

… DANIEL ANGE PARLE DE L’EGLISE AUX JEUNES

Je vais vous parler du mystère de l’Eglise.
Notre Pape a eu un mot tout simple à Toronto : ” Si vous aimez Jésus, aimez l’Eglise ” . Nous demandons à la Gospa de nous faire voir et aimer l’Eglise comme Elle la voit et l’aime. Nous demandons que, comme Elle, nous puissions reconnaître Jésus et que, comme Lui, nous puissions reconnaître l’Esprit. Ce cri du cardinal Hongrois dans cet horrible procès communiste : tout à coup 3 mots de pure vérité qui jaillissent de son cœur : ” Eglise, ô mon amour ! “.
Je vais faire resplendir les douze étoiles de l’Eglise.

Le mois dernier nous vous donnions la 6ème et la 7ème étoile, voici la 8ème, la 9ème et la 10ème étoile.

8ème étoile : L’extraordinaire sang qui circule partout

C’est ce que Jésus a institué. Prêtres, évêques, sacrements et le sang qui circule partout c’est tout ce que l’Esprit suscite dans la vie de l’Eglise. Toutes les nouvelles communautés, etc… On ne peut jamais séparer ce que Jésus a donné et ce que l’Esprit donne. Ce sont les deux mains du Père pour construire le Corps de l’Eglise. Les apparitions de Marie relèvent de cette dimension charismatique. Le Cardinal Ratzinger en parlant des secrets de Fatima a montré combien sont importantes pour l’Eglise toutes ces manifestations. Le fait que dans une semaine le Pape sera à Kracovie pour la basilique de Sœur Faustine montre que le sang qui circule et le squelette ne peuvent être séparés. Tous vos évêques et prêtres sont au service de la sainteté de votre cœur. Nous sommes les serviteurs de la joie de Dieu en chacun de vous, de la joie divine.

9ème étoile : L’unité de l’Eglise

A Bucarest, il y a deux ans, le Pape a dit : ” Jeunes du monde entier entrez dans le nouveau millénaire avec le rêve de Dieu. ” Et ce rêve est que tous les enfants de Dieu soient un. Toute cette foule d’orthodoxes et de catholiques priait ensemble. ” Unité, unité ” c’est le cri du peuple de Dieu. Le premier millénaire a été celui de l’Eglise indivise, le deuxième millénaire, celui des grandes fractures, le troisième millénaire, celui où Dieu rend à son corps toute son unité. C’est merveilleux de voir tout ce que le Seigneur fait pour cette unité. L’Eglise va devenir bien plus belle. En attendant, nous partageons toutes nos richesses. Toute l’unité est en train de se construire autour du cœur de l’Eglise qu’est l’Eucharistie. Regardez comme notre Saint Père est un serviteur de l’unité de l’Eglise. Vous savez que l’Eglise est bien plus une qu’on ne le croit car nous avons tous reçu le même Esprit qui suscite des fruits de sainteté partout. Avec nos frères orthodoxes, nous recevons le même Corps.

10ème étoile : La mission

Tout ce trésor de vérité, de beauté, de lumière, comment le garder pour nous ? Quand nous voyons tant de mal dans le monde et que 80 % de ce mal vient du péché. L’Eglise apporte la guérison du péché et donc la suppression de tant de souffrances. Quand je sais que Jésus est l’unique réponse à toutes les attentes de l’homme, comment puis-je rester dans l’intimité avec Lui sans le porter aux autres ? C’est ce qui m’a arraché à mon désert quand j’étais ermite. Je ne peux pas supporter qu’il y ait des jeunes qui se donnent la mort alors que je porte la vie de Dieu. C’était tout mon problème. Comment faire passer ce courant d’amour qui vient de l’Autel jusqu’au bordel où l’amour est tué ? Plus nous vivons dans l’intimité de Jésus, plus Jésus nous entraîne pour porter sa lumière dans le désert. Medjugorje est depuis 21 ans une véritable école d’évangélisation pour le monde. La Gospa a des paroles tellement fortes ! ” Soyez par votre vie les témoins de la joie de Dieu “. Car on ne peut évangéliser que par contagion de joie. Plus je suis heureux de Dieu, plus Marie devient pour moi la joie de Dieu, plus cette joie rayonne et se diffuse autour de nous. ” Je veux que par vous le monde entier connaisse le Dieu de la joie ” ” Soyez tous le reflet de Dieu qui luit dans les ténèbres. ” ” Soyez lumière du monde ” Témoignez de la Lumière, vivez votre vie dans la Lumière, soyez les porteurs de la paix et de la joie de Dieu. Mirjana a dit un jour : ” Si seulement vous pouviez voir les larmes dans les yeux de la Gospa quand elle parle de ses enfants incroyants “. Est-ce que nous pleurons à cause de tous ceux qui ne connaissent pas le Seigneur ? Dans un monde où on vous gave de tout sauf de l’Essentiel, alors que Marie ici à Medjugorje ne cesse de nous visiter. Medjugorje est une visitation permanente et qui réveille en nous ce petit Jean-Baptiste entrain de dormir pour être le petit prophète de la joie.

Enseignement donné par Daniel Ange aux jeunes lors du festival des jeunes 2002 à Medjugorje

Suite le mois prochain…

SPECIAL ENFANTS

Chers amis,

Ce mois-ci je voudrais vous parler de deux enfants qui ont été béatifiés il y a quelques années par notre pape Jean-Paul II . Il s’agit de Jacinta et Francesco de Fatima. Ces deux enfants ont eu l’immense joie de voir la Sainte Vierge et de parler avec Elle.
Jacinta était bergère au Portugal avec son frère et sa cousine Lucia. Ils étaient très pauvres. Ils jouaient ensemble dans la belle campagne du Portugal en gardant les moutons. Aux heures chaudes de la journée ils s’abritaient sous les arbres ou à l’ombre des rochers. Jacinta était très vive, elle aimait danser avec Lucia au son du pipot de Francesco. Elle aimait beaucoup Jésus. Quand ils ramenaient les moutons le soir, elle aimait à prendre un agneau dans ses bras : “C’est pour faire comme Jésus sur l’image que l’on m’a donnée. Lui aussi porte un agneau dans ses bras !” Tout comme Francesco, elle aimait beaucoup la nature. Elle aimait à admirer les fleurs, le soleil qui se couche et les petits agneaux tout blancs. Comme tout le monde Jacinta avait aussi des défauts. Parfois, elle devenait boudeuse, capricieuse. Pour un rien elle faisait la tête. Francesco, lui, montrait beaucoup de douceur et de délicatesse. Il aimait à se retirer seul pour s’occuper des oiseaux qu’il aimait tant ou jouer de la flute et de l’harmonica. Il lui arrivait aussi d’être bien remuant, et parfois, il était tellement obstiné qu’il en désobéïssait à ses parents.
Avant qu’ils ne partent aux champs garder les moutons leur maman leur disait de bien faire leur prière. Ils la faisaient… Mais d’une façon un peu spéciale. Comme ils étaient pressés d’aller jouer, ils récitaient le chapelet après le déjeuner en disant juste “Ave Maria” à chaque boule très vite. Ca durait trois minutes et après ils pouvaient jouer !

C’est vers Pâques 1916 qu’il se produisit quelque chose d’étonnant. Lucia avait 9 ans, Francesco 8 ans et Jacinta, la plus petite, 6 ans. Un ange leur apparut, alors qu’ils gardaient leurs moutons. Il paraissait très jeune, était très beau et plus blanc que neige.
Il leur dit : “N’ayez pas peur, je suis l’ange de la paix, priez avec moi !”
Il leur apprit alors cette prière :

“Mon Dieu, je crois, j’adore, j’espère et je vous aime.
Je vous demande pardon pour tous ceux qui ne croient pas, qui n’adorent pas,
qui n’espèrent pas et qui ne vous aiment pas.”

Il leur dit ensuite quelque chose qui les mit dans une grande joie :
“Les Coeurs de Jésus et de Marie sont attentifs à vos supplications”.

Ils comprennent alors combien Jésus et Marie écoutent attentivement chacune de leur prière. C’est vrai pour chaque enfant qui s’adresse à Jésus et Marie. Chaque fois que vous parlez dans votre coeur à Jésus ou à Marie, ils sont tellement heureux. Quand Jésus était sur la terre, il aimait tellement les enfants qu’il les embrassait et les bénissait.

L’été suivant, alors que les 3 enfants jouaient près du puits, l’ange leur apparut de nouveau et leur dit :
“Que faites-vous ? Priez, priez beaucoup !… Offrez constamment au Très-Haut des prières et des sacrifices”

Lucia demanda alors : “Comment devons-nous nous sacrifier ?”
L’ange leur expliqua alors comment les sacrifices faits et offerts avec beaucoup d’amour dans le coeur ont du prix pour Dieu.

La vie des enfants changa alors beaucoup. Ils guettaient toutes les occasions de faire un petit sacrifice pour l’offrir à Jésus et Marie. Ils ne se plaignaient plus quand ils avaient mal ou trop chaud. Ils partageaient leur goûter avec le sourire…
Tout cela préparait leur coeur, les rapprochait de Jésus et de Marie.

Vous aussi, vous en avez eu l’expérience. Regardez : Quand vous faites plaisir à Maman en lui rendant service, quand vous faites plaisir à un camarade d’école en lui prêtant votre plus joli crayon, êtes vous tristes ou plutôt heureux ? Je suis sûre que vous êtes heureux de voir la joie que vous avez donnée à votre maman ou à votre copain. Et même, votre amour pour eux à grandi… vous êtes plus proche d’eux . C’est pareil avec votre maman du Ciel, la Sainte Vierge, à chaque fois que vous lui offrez un petit sacrifice pour lui faire plaisir, vous vous rapprochez d’elle et vous l’aimez plus.
Revenons à nos petits bergers…

Environ un an passa. Ils n’ont rien dit à personne de la visite de ce bel ange. Un jour du mois de mai 1917, le 13, alors qu’ils gardaient leur troupeau, une dame toute vêtue de blanc apparut en haut d’un petit arbre. Elle était splendide !
“D’où venez-vous Madame ?”, demande Lucia
“Je suis du Ciel”
“Et que voulez-vous de moi ?”
“Je suis venue vous demander de venir ici pendant six mois consécutifs, le 13 à cette même heure. Ensuite, je vous dirai qui je suis et ce que je veux.”
“Et moi aussi est-ce que j’irai au Ciel ?”
“Oui tu iras”
“Et Jacinta ?”
“Aussi”
“Et Francisco ?”
“Aussi. Mais il devra réciter beaucoup de chapelets…”
Et elle leur demanda :
“Voulez-vous vous offrir à Dieu pour supporter toutes les souffrances qu’il voudra vous envoyer, en acte de réparation pour les péchés par lesquels il est offensé, et de supplication pour la conversion des pécheurs ?”
“Oui, nous le voulons.”

A cette époque là, le monde allait très mal. Il y avait la guerre partout et beaucoup de gens en souffraient ! La Sainte Vierge qui connaît la solution dit aux enfants :

“Récitez le chapelet tous les jours, afin d’obtenir la paix pour le monde et la fin de la guerre.”

La Sainte Vierge s’en alla. Francisco et Jacinta se serrèrent contre Lucia qui leur redit chacun de ses mots. Jacinta ne pouvait que répéter : “Comme elle est belle cette dame ! Ah, quelle belle dame !”

La Sainte Vierge fera comme elle l’a dit aux enfants. Elle leur demande de prier beaucoup et de faire des sacrifices pour les pécheurs. Pourquoi ? Parce que dit-elle, beaucoup d’âmes vont en enfer car il n’y a personne qui se sacrifie et prie pour elles.

Les enfants offrent beaucoup et prient pour la paix. Souvent ils disent : “Je ne mangerai pas cette figue délicieuse ou ce raisin si appétissant, je fais ce sacrifice pour les pécheurs”. Plus tard, Jacinta et Francesco tomberont malade, une très grave maladie appelée la grippe espagnole. Toutes leurs souffrances, ils les offrent à la Sainte Vierge.

La Sainte Vierge les aime beaucoup comme elle aime tous ses enfants. Elle le leur montre un jour où elle vient les visiter. Francesco et Lucia sont ensemble et voient l’éclair qui précède la venue de la Sainte Vierge. Lucia dit alors à Francesco d’aller chercher Jacinta car la Sainte Vierge va venir. Il part et jusqu’à leur retour Marie attend. Elle n’apparaitra qu’une fois Jacinta arrivée. Elle a déja fait cela pour Francesco !

Lors de la dernière apparition, la Sainte Vierge annonce une bonne nouvelle aux enfants : la guerre va finir !
Pour cela il faut beaucoup prier. Elle leur donne aussi son Nom : “Je suis Notre Dame du Rosaire”.

Marie dit à Jacinta 4 choses très importantes :

Dieu nous accorde ses grâces par le moyen du Coeur Immaculé de Marie. Cela veut dire que tous les cadeaux que notre Seigneur nous fait, il nous les donne par la Ste Vierge.

C’est à Elle qu’il faut les demander. Lorsque vous avez un grand désir dans votre coeur, si vous avez des soucis, confiez-le à votre maman du Ciel.

le Coeur de Jésus veut que l’on vénère avec lui le Coeur Immaculé de Marie

Il veut aussi que l’on demande la paix au Coeur Immaculé de Marie, car c’est à elle que Dieu l’a confiée.

La Sainte Vierge montrera beaucoup de choses aux 3 petits enfants. Ils ont vu l’enfer, le purgatoire, le ciel. Ils ont vu aussi toutes les guerres qui arriveraient si les hommes continuaient à vouloir vivre sans l’Amour de Dieu, si les hommes ne priaient pas.

Mais Marie leur fait cette promesse : “A la fin mon Coeur Immaculé triomphera !”

Pour cela, il faut que des enfants de la Sainte Vierge acceptent de continuer ce qu’ont fait Jacinta, Francesco et Lucia, acceptent d’aider la Sainte Vierge car elle a besoin de notre prière.

Prier c’est tout simple !
Quand tu aimes quelqu’un, tu aimes à venir le voir, à lui parler, à lui confier tes soucis, tes peines, tes joies, tout ce qui fait ta vie. Tu peux faire cela avec la Sainte Vierge et Jésus. Ils t’attendent, ils sont toujours avec toi et aiment tellement quand tu leur parles. Et alors si tu leur demandes quelque chose, ils n’ont qu’un désir c’est de t’exaucer (si bien sur c’est bon pour toi).
Imaginez : si une foule d’enfants allaient trouver Jésus et Marie pour leur demander la paix dans le monde, les guerres cesseraient ! C’est ce qui s’est passé quand Jacinta et Francesco ont prié pour la paix.
Vous avez aussi un moyen fantastique d’aider la Sainte Vierge à triompher du mal : les petits sacrifices.
Quand tu fais un petit sacrifice, Jésus et Marie s’en servent pour aller secourir quelqu’un qui en a besoin, pour empêcher le mal d’agir dans le monde. Par tes prières et tes sacrifices, tu peux même empêcher les guerres. La Sainte Vierge l’a dit à Medjugorje : “Seulement par la prière et le jeûne, même les guerres peuvent être arrêtées”.
Quant à Satan, il a horreur qu’on fasse des sacrifices car ça l’empêche de faire son travail. Le sacrifice est la deuxième arme pour le vaincre.
Le jour où tu arriveras au Ciel, des gens viendront te voir pour te remercier pour les sacrifices que tu auras fait. Quelle surprise et quelle joie pour toi !

Le troisième moyen pour aider la Sainte Vierge, c’est un de ses secrets qui est une grande arme contre le mal : Consacrer ton coeur à la Sainte Vierge.
Qu’est ce que cela veut dire ?
Tu donnes ton petit coeur à la Sainte Vierge avec tout ce qu’il y a dedans : ses richesses (toutes tes qualités) mais aussi et surtout ses défauts (tout ce qui ne va pas et qui te fait souffrir… ta difficulté à obéir, tes colères, tes maladies, tes peines, etc)
En échange la Sainte Vierge te donne toutes les richesses de son Coeur, un Coeur immense comme le ciel, pur, qui ne pense qu’à consoler, aimer, guérir, faire des surprises.
Marie a demandé cela à Fatima, au Portugal.
Ne cherche pas à réfléchir, à te demander comment cela se fera. Elle, ta maman du Ciel qui te connaît si bien, sait ce qui est bon pour toi. Redis tous les jours à Marie, je me consacre à toi. Je te donne mon coeur en échange de ton coeur pour que tu m’apprennes à aimer comme toi tu aimes, à vivre comme tu veux. Et elle s’occupera de toi.
Ton Coeur est comme un jardin. C’est elle qui s’occupera de planter, de faire germer des petites graines, de bêcher la terre, d’arracher toutes les mauvaises herbes du péché pour faire de ton coeur un jardin magnifique où tu aimeras venir retrouver Jésus pour le prier, lui parler.
Toi tu n’as qu’à lui donner ton coeur, et venir lui parler souvent de tout ce qui fait ta vie. Tu peux même lui confier tout tes soucis. Tu verras comme elle t’aidera !

Voila, ce secret merveilleux de Fatima est maintenant à toi. Tu peux vivre avec la Sainte Vierge et l’aider.
Comme tu le sais sûrement, beaucoup de gens sont malheureux aujourd’hui sur terre, on parle même de guerre en Irak à la télévision. Le pape Jean-Paul II a demandé de prier pour la paix, comme la Sainte Vierge l’a demandé à Fatima.
Alors, toi qui détiens ce secret, tu peux par ta prière toute simple et tes petits sacrifices aider la Sainte Vierge à empêcher qu’il y ait cette guerre.
Tu n’es pas seul, beaucoup prient. C’est comme une grande armée qui a choisi de laisser tomber les armes qui tuent pour les remplacer par le chapelet et les sacrifices. Cette armée, c’est l’armée de la Sainte Vierge, celle de tous ceux qui ont décider de travailler pour elle comme Jacinta, Francesco et Lucia.

Les Saints nous parlent

5 mars – mercredi des cendres
Jour de jeûne dans toute l’Eglise
“Crée en moi un coeur pur, ô mon Dieu,
Renouvelle et raffermis au fond de moi mon esprit.
Ne me chasse pas loin de ta face,
ne me reprends pas ton Esprit Saint.” Ps 50

19 mars – Saint Joseph
“Glorieux Saint Joseph, très chaste époux de la Mère de Dieu, Père nourricier de Jésus, protecteur de tous ceux qui se confient en toi, je te choisis aujourd’hui et pour toujours pour mon guide, pour mon protecteur, pour mon maître, pour mon père bien aimé !
Je remets dans le sein de ta bonté et sous ta protection spéciale, mon âme, mon corps, mes projets, mes travaux, tous les instants de ma vie et surtout celui duquel dépend mon éternité.
Daigne, je t’en conjure, ô mon aimable père, me recevoir malgré mon indignité, au nombre de tes serviteurs les plus dévoués. Amen”

25 mars – Annonciation
“Voici la servante du Seigneur ; que tout se passe pour moi selon ta parole.”

Prochains pèlerinages et retraites

Si vous souhaitez venir cette année à Medjugorje, les compagnies aériennes nous invitent à vous demander de vous inscrire un mois avant le départ en raison de l’augmentation des réservations.

Medjugorje

En avion
Voyage du mois de mars

AVI-05, du 23 au 29 mars, Retraite de jeûne pension complète. Accompagnée par Jean-Raymond et Maryse Cayrel
Décollage de Roissy. Prix : 491 € + 25 € (cot.)

“Chers enfants, aujourd’hui Je vous invite à renouveler la prière et le jeûne avec plus d’enthousiasme encore, jusqu’à ce que la prière devienne joie pour vous.
Petits enfants, celui qui prie ne craint pas l’avenir et celui qui jeûne ne craint pas le mal.
Je vous répète encore une fois :
seulement par la prière et le jeûne, même les guerres peuvent être arrêtées,
les guerres dues à votre incrédulité et à la peur de l’avenir.
Petits enfants, Je suis avec vous et je vous enseigne : en Dieu est votre paix et votre espérance.
C’est pourquoi rapprochez-vous de Dieu et mettez-le à la première place dans votre vie.
Merci d’avoir répondu à mon appel.” 25 janvier 2001

Qu’est-ce qu’une retraîte de jeûne ?
“On apprend à jeûner comme on apprend à prier”

Faire une retraite de jeûne c’est rentrer à l’école de vie de la Ste Vierge.
Saint Paul après avoir rencontré Jésus sur le chemin de Damas a dû jeûner 3 jours. Au bout de ces 3 jours, les écailles lui sont tombées des yeux.
De même, l’un des premiers fruits reçu lors de ces retraites, est la guérison de notre aveuglement.
Suivent bien d’autres fruits de conversion et de guérison intérieure. (cf. témoignages en fin de lettre)

Voyage du mois d’avril
AVI-06, du 12 au 18 avril, Retraite-pèlerinage “guérison intérieure” demi-pension. Accompagnée par Jean-Raymond et Maryse Cayrel
Décollage de Roissy. Prix : 541 € + 25 € (cot.)

AVI-07, du 17 au 21 avril, pèlerinage demi-pension.
Décollage de Roissy. Prix : 490 € + 25 € (cot.)

AVI-08, du 29 avril au 4 mai, pèlerinage demi-pension.
Décollage de Roissy. Prix : 513 € + 25 € (cot.)

En bus grand confort

BLA-01, du 26 avril au 4 mai, pèlerinage en 1/2 pension
Possibilité de nous rejoindre à Niort, Bordeaux, Blagnac (Toulouse), Montpellier, Nîmes, Arles
Prix : 419 € + 25 € (cot.)

Annonces

LE PAPE DEMANDE DE PRIER ET DE JEÛNER POUR LA PAIX LE 5 MARS
(MERCREDI DES CENDRES)

“Depuis des mois la communauté internationale vit dans une grande appréhension à cause d’un risque de guerre, qui pourrait troubler toute la région du Moyen Orient et aggraver les tensions qui existent malheureusement déjà en ce début de troisème millénaire.
C’est un devoir pour les croyants, quelle que soit leur religion, de proclamer que nous ne pourrons jamais être heureux les uns contre les autres ; l’avenir de l’humanité ne pourra jamais être assuré par le terrorisme et la logique de la guerre.
Nous les chrétiens, en particulier, sommes appelés à être comme des sentinelles de la paix, dans les lieux où nous vivons et où nous travaillons. Il nous est demandé de veiller, afin que les consciences ne cèdent pas à la tentation de l’égoïsme, du mensonge et de la violence.
J’invite par conséquent tous les catholiques à consacrer avec une intensité particulière la journée du 5 mars, Mercredi des Cendres, à la prière et au jeûne pour la cause de la paix, spécialement au Moyen Orient.
Nous implorerons Dieu surtout pour la conversion des coeurs et la clairvoyance des décisions.
Dans chaque sanctuaire marial une prière ardente pour la paix s’élèvera avec la prière du Saint Rosaire,” a déclaré le pape, avant d’exprimer le souhait que le chapelet soit récité également dans les paroisses et les familles “pour cette grande cause dont dépend le bien de tous”.

Document tiré du ZENIT du dimanche 23 février 2003
infofrench@zenit.org

Témoignages de la dernière retraite de jeûne …

J’avais toujours pensé que le jeûne était un renoncement, un sacrifice offert pour différentes intentions. Lors de la retraite de jeûne j’ai découvert que le jeûne est beaucoup plus que cela. Il est prière du corps, du cœur et de l’âme. Il donne réellement à Dieu la possibilité de nous rejoindre au plus profond de nous-mêmes. Comme Dieu s’est incarné en prenant un corps de chair, en nous privant de nourriture nous lui offrons notre humanité pour qu’il la remplisse de sa divinité. Je ne jeûnerai plus jamais comme avant, jeûner c’est aussi aimer. Valérie

Pendant 6 jours, Marie m’a montré les principaux blocages qui m’avaient enlevé l’envie de vivre. J’envisageais la mort dés la fin des études de ma fille. Elle m’a montré que la vie est plus forte que la mort. Elle m’a montré que je n’ai pas le droit de décider, que j’appartiens au plan d’amour du Père. Laurence

Il y a un an j’ai étouffé mon orgueil (qui est grand) lorsque j’ai décidé d’obéir scrupuleusement à la Sainte Vierge Marie. Car j’avais l’impression de redevenir un petit garçon qui obéit à Maman… Cette retraite de jeûne, prière et silence a permis au petit garçon de faire un très grand pas vers l’homme. Le chemin qui se présente à le goût de la vraie vie ! Pascal

Qu’est ce que la retraite m’a apporté ? D’abord la découverte de la Vierge Marie. J’ai compris qu’on allait à Jésus par Marie c’est à dire par le cœur. Mes certitudes ont volé en éclat, et j’ai commencé à réaliser combien j’étais encombré de tout un fatras d’idées et de théories. J’ai découvert la louange, l’action de grâce : ne pas vivre dans le passé ou l’avenir, mais qu’on trouvait le Seigneur dans le PRESENT, dans l’acceptation de toute contradiction et contrariété, de chaque minute dans l’action de Dieu, dans le MERCI au Seigneur. J’ai découvert la prière du cœur. Philippe

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