Après cela, j’ai vu une foule immense, que nul ne pouvait dénombrer, une foule de toutes nations, races, peuples et langues. Ils se tenaient debout devant le Trône et devant l’Agneau, en vêtements blancs, avec des palmes à la main.
Et ils proclamaient d’une voix forte : Le salut est donné par notre Dieu, lui qui siège sur le Trône, et par l’Agneau !
Tous les anges qui se tenaient en cercle autour du Trône, autour des Anciens et des quatre Vivants, se prosternèrent devant le Trône, la face contre terre, pour adorer Dieu.
Et ils disaient : Amen ! Louange, gloire, sagesse et action de grâce, honneur, puissance et force à notre Dieu, pour les siècles des siècles ! Amen ! (Ap. 7)
* Que Dieu vous bénisse !
L’équipe de la Communion Marie Reine de la Paix
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« La mort n’est pas une fin, mais une nouvelle naissance », explique Benoît XVI
Catéchèse du mercredi
ROME, Mercredi 2 Novembre 2005 (ZENIT.org) – « La mort n’est pas une fin, mais une nouvelle naissance », a expliqué le pape Benoît XVI dans sa catéchèse hebdomadaire en français.
Le pape a évoqué la commémoration des fidèles défunts avant de commenter le Psaume 111 qui fait entrevoir la figure de l’homme juste. L’Eglise latine le chante aux vêpres, le dimanche de la 4e semaine liturgique.
« Après avoir célébré hier la fête de tous les Saints du ciel, nous faisons aujourd’hui mémoire des fidèles défunts. La liturgie nous invite à prier pour nos chers disparus et à regarder l’énigme humaine de la mort à la lumière de la foi, avec sérénité et espérance », soulignait le pape.
Il ajoutait: « Les Écritures nous rappellent que la mort n’est pas une fin, mais une nouvelle naissance. Elle est aussi le passage obligé à travers lequel ceux qui modèlent leur existence selon les indications de la Parole de Dieu peuvent rejoindre la vie en plénitude ».
Commentant le psaume, le pape disait: « «Heureux qui craint le Seigneur». La béatitude qui ouvre le Psaume 111 évoque justement le bonheur du fidèle manifestant sa docilité aux commandements de Dieu ».
« Observer la loi morale, refuser l’injustice et l’immoralité, tout cela est source de paix profonde pour la conscience et gage de bénédiction pour le juste lui-même et pour les générations futures », soulignait le pape.
Ce qui implique des exigences concrètes, précisait Benoît XVI en disant: « Demeurer pleinement fidèle à la Parole de Dieu, nous dit le Psalmiste, nécessite fondamentalement d’avoir le souci désintéressé des pauvres et de ceux qui sont dans le besoin. «Dieu aime qui donne avec joie» et il procure à l’homme généreux un cœur ferme et confiant ».
Aux pèlerins de langue française, le pape disait : « Je salue cordialement les pèlerins francophones présents ce matin, en particulier les Sœurs de Saint-Paul de Chartres et les groupes de jeunes. Puissiez-vous trouver une grande joie à faire la volonté du Seigneur et marcher avec confiance à la rencontre du Christ vainqueur de la mort! »
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